LE CRATÈRE EST INONDÉ

Depuis la crête du volcan (à 2 285 M) nous découvrons la plaine du N'Gorongoro inondée.
C'est le résultat des fortes pluies des dernières semaines. Des pistes sont impraticables.

UNE DESCENTE ASSEZ RAIDE

Après la nécessaire photo du groupe nous entamons, avec nos véhicules, la descente assez raide sur une piste à sens unique pour atteindre, à 500 M plus bas, la caldeira constituant une vaste plaine.


DES ANIMAUX PAR MILLIERS

En atteignant le fond du cratère nous découvrons des animaux par milliers des gnous avec leurs petits, des buffles et des troupeaux de zèbres qui broutent une herbe verte abondante.
Au cours de la journée nous ne verrons pas de girafe, pas plus de damalisque ni d'impala : les falaises du cratère sont trop difficiles à franchir pour eux.

EMBOURBÉS SUR LA PISTE

La piste est difficile pour les 4X4, d'ailleurs l'un de nos véhicules s'est embourbé au risque de se coucher sur le coté. John prenait des risques pour en faire toujours plus pour nous faire plaisir.

UNE LUNE DE MIEL LÉONINE

Nous avons pu visiter que la partie Ouest du parc N'Gororongo, où nous avons observé des outardes et des petits échassiers.
Le clou de la matinée fut le lion et sa lionne dans une tentative de "lune de miel" dans l'intimité d'une dizaine d'autres véhicules venus les observés.
Le lion était très prudent et patient, il collait les déplacements de sa dulcinée ... mais en vain ... la lionne n'était pas prête.
Finalement las d'atteindre, nous sommes partis sous les regards attentifs de 3 zèbres vigilant qui avaient suivi, eus aussi, tous les épisodes de la comédie !

LE PIC-NIC....

Nous avons trouvé un coin calme à proximité du lac Esoit-Nodau

DES AIGLES TRÈS INTÉRESSÉS PAR NOS SANDWICHS

Nous nous étions regroupés sous un arbre, 2 pintades se pavanaient sur les rochers et des hyppopotames se prélassaient dans l'eau.

Notre déjeuner a été perturbé par l'arrivée soudaine de 2 aigles volant en escadrille et qui visiblement étaient désireux de partager le repas avec nous. Par sécurité John nous a demandé de nous replier vers nos véhicules car la scéne pouvait devenir dangeureuse .

UN CHACAL TOURNAIT AUTOUR DES GNOUS

Un jeune gnou s'écartait un peu trop sa mère, le chacal avait identifié sa proie, il tournait autour des gnous pour isoler le jeune, en vain il se lassa.

UNE BELLE PROIE .... CES GAZELLES DE THOMSON !

Les herbes ne sont pas très hautes, le lion est à découvert, les gazelles l'ont vu mais elles continuent de brouter ... elles sont prêtes à détaler.
Le lion est seul, il a peu de chance de pouvoir en attraper une !

DES SOUCIS DANS LA REMONTÉE DU CRATÈRE

Dans la remontée très raide pour sortir du cratère du N'Gorongoro nos véhicules, à tour de rôle, ont cassé leurs transmissions arrières.
Après un arrêt pour bloquer le différentiel de chacun des trains avants de nos 4X4, la progression vers la sortie fur difficile, l'un des véhicules a du se faire tracter par l'autre sur un bon kilomètre car sa puissance et son adhérence étaient insuffisantes pour gravir la pente.
Ce soir là nous sommes arrivés tardivement à notre campement.

UNE NUIT TROUBLÉE PAR LES MAITRES DES LIEUX

A cette altitude la nuit fut fraîche, et pas très paisible car nos tentes étaient installées sur la zone de pature des phacochères et des buffles.
Blottis au fond de nos sacs de couchage, nous les avons entendus brouter autour de nous et nous pouvions deviner leurs silhouettes se découper en ombre chinoise sur la toile de nos tentes.
Personne n'est sorti de sa tente, au petit déjeuner nous avons échangé nos impressions sur cette nuit mal vécue où nous avions joué le rôle des intrus venus occuper un espace réservé !.